Personal branding

Personal branding.

Développer son personal branding, ce n’est pas “se vendre”, c’est refuser d’être interchangeable.

Dans un monde saturé de contenus, ce qui manque n’est pas la parole, mais la posture. Beaucoup de gens communiquent. Peu marquent les esprits. Pourquoi ? Parce qu’ils lissent leur discours au lieu d’assumer une voix qui tranche.

Une marque personnelle solide commence par un rejet. Ce que vous refusez catégoriquement. Dans mon cas : la bienveillance à tout prix et les experts autoproclamés qui recyclent une idéologie dogmatique et dénuée de fondement scientifique.

Puis vient ce qui vous anime. Ce que vous pourriez expliquer des heures durant sans jamais vous lasser. Pour moi : les comics, la narration, la communication, et la manière dont les marques peuvent apprendre à dire quelque chose de vrai.

Qu’est-ce que vous incarnez ?

Avec un bon personal branding, vous n’êtes plus juste un nom ou un métier : vous devenez un repère mental. Une boussole pour ceux qui cherchent de la clarté. Votre présence ne doit pas seulement informer : elle doit orienter, inspirer, donner envie de vous suivre.

Ce que vous incarnez vaut plus que ce que vous affichez. Et ce que vous dites doit vous ressembler. Pas ressembler à ce que vous croyez qu’on attend.

Le piège ? Croire que poster souvent suffit. La visibilité n’est rien sans cohérence. Ce qui compte, ce n’est pas le volume. C’est la clarté. L’impact. L’alignement. C’est vrai que je poste tous les jours sur les réseaux sociaux (suivez-moi sur LinkedIn), mais je fais l’effort de parler de mon métier et des causes qui m’animent.

Il y a le bon personal branding et le mauvais personal branding.

Le mauvais personal branding, c’est celui qui cherche à plaire à tout le monde et finit par ne ressembler à personne. Un bon personal branding divise parfois. Il assume. Il trace une ligne. Il attire ceux qui se reconnaissent dans votre vision. Et c’est précisément ça qui vous rend aussi inoubliable qu’incontournable.

Personal branding.
L’art du personal branding, c’est aussi l’art de se mettre en scène.

J’en ai fait mon terrain de jeu sérieux, un laboratoire d’intuitions où chaque idée passe à la centrifugeuse du réel avant d’entrer en scène. C’est la démarche que je poursuis à travers Moklay, mon agence de storytelling, et sur ce blog, où je partage mes réflexions sur la narration, l’identité et la communication.